14- En quoi consiste le consentement?

Note importante:

Personne ne peut décider de changer le sceau du sacrement, ni décider s’il s’applique à lui ou non. Par exemple, si quelqu’un décidait d’utiliser de la bière et des cookies à la place du pain et du vin de l’Eucharistie, ça ne serait absolument pas valide et le Christ ne se donnerait pas dans ce simulacre de sacrement.
Autre exemple, un couple marié civilement est soumis à la même règle d’abstinence avant la réception du sacrement, la relation sexuelle étant le sceau qui authentifie le sacrement et rend le mariage indissoluble.

Il ne nous appartient pas de décider de ce qui sera le sceau du sacrement. C’est le Christ qui décide, et dans le cas du mariage, le sceau - la relation sexuelle - est lié à la loi naturelle établie par Dieu. Adam et Eve n’ont pu s’unir physiquement qu’après avoir reçu la bénédiction divine, pas avant ! Il nous faut réapprendre à respecter les lois naturelles, créées par Dieu lui-même pour notre plein épanouissement, qui sont en quelque sorte notre « mode d’emploi » pour un bonheur réel, ou notre « guide d’utilisation et d’entretien » si vous voulez !


Notre culture pense se libérer en refusant toute « règle ». Elle a décidé qu’on pouvait avoir des relations sexuelles à n’importe quel moment et avec n’importe qui, sans aucune formalité, et que ce n’était pas grave. Mais notre culture se trompe et nous trompe. C’est le péché originel : nous nous croyons assez malins pour décider de ce qui est bien et mal et nous courons à la catastrophe. C’est comme si la lune ou le soleil décidaient d’eux-mêmes de ne plus suivre les lois naturelles. Ce serait un chaos apocalyptique ! ou si nous décidions de conduire une voiture sans permis et sans suivre les règles, nous pourrions préparer notre enterrement !

Nous ne sommes vraiment libres que quand nous acceptons de suivre avec amour et confiance le plan divin, le plan pour lequel nous avons été créés. Quand nous décidons de suivre notre propre plan, nous nous rendons esclaves de nos passions et de notre péché.